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dimanche 19 décembre 2010

Pour cette semaine, nous avons décidé de vous faire partager une petite sélection de vidéos bien sympathiques ....
Allumez vos hauts-parleurs et appréciez la suite...

Yukinko Akira

L'artiste japonais alliant rythme et peinture !

Yukinko Akira est un peu un phénomène emblématique de la culture urbaine japonaise.

Cet artiste de rue atypique, peint à l’aide de son incroyable platine de DJ en s’appuyant sur le rythme. Autant dire que vu de l’extérieur, il paraît complètement fou ! Quoi qu’il en soit, son interprétation est remarquable et impressionnante à voir !

Remuant, sautant, jetant ses traits de pinceau sur le papier avec furtivité ou agressivité, Yukinko Akira est un véritable artiste comme on se l’imagine ! Admirez le travail !



Pour plus d’informations :

Yukinko Akira, l'artiste japonais (...) le blog officiel de Yukinko Akira (http://www.yukinkoakira.cocolog-nifty.com/)


Visual séries !

Spécial culture underground du Japon...




De la pub japonaise bien étrange ..mais fun!!!...












"Cute !"



La relève est là !!










A la semaine prochaine
et
bonnes fêtes de fin d'année !!!!

samedi 4 décembre 2010

Une Sud-Coréenne

remporte un concours de beauté pour travestis


Une Sud-Coréenne remporte un concours de beauté pour travestis

Une Sud-Coréenne appelée "Mini" a remporté la sixième édition de la "Miss International Queen", un concours de beauté pour travestis s'adressant selon les organisateurs à ceux "intéressés par la beauté et l'égalité".

Une Sud-Coréenne appelée "Mini" a remporté la sixième édition de la "Miss International Queen", un concours de beauté pour travestis s'adressant selon les organisateurs à ceux "intéressés par la beauté et l'égalité".

Mini, designer de profession, s'est imposée face à ses concurrentes originaires de 15 pays différents, s'emparant de la couronne et d'un prix de 10.000 dollars (7.315 euros) à l'issue de l'évènement qui s'est déroulé dans la station balnéaire thaïlandaise de Pattaya.

A 27 ans, elle est la première Sud-Coréenne à remporter le titre, ont annoncé les organisateurs. Mini a aussi obtenu le prix du meilleur costume national.

Les juges, qui ont fait leur choix en observant les visages et la peau aussi bien que l'attitude et l'intelligence, ont déclaré dans un communiqué avoir été impressionnés par la "beauté parfaite" de Mini.

Le podium a été complété par Ami Takeuchi, une Japonaise, et Stasha Sanchez, une Américaine.

Douze des 23 concurrents venaient d'Asie, quatre d'Europe et sept du continent américain.


Doc Martens - Dress code 2011

Les fameuses bottines du docteur Martens faisant actuellement leur grand retour au coeur du dressing des modeuses, il est temps de réfléchir à comment les adapter au dress code de la saison, afin de ne pas tomber dans des travers stylistiques caricaturaux. Si l'exercice s'avère beaucoup moins aisé qu'il n'y paraît, il en vaut néanmoins la peine, une paire de Doc pouvant - avec un brin de savoir-faire - emmener un look casual sur le sentier de la branchitude up-to-date...

Doc Martens 2010

Entre leur collaboration avec le Comptoir des Cotonniers et leur présence aussi bien sur le défilé Jean Paul Gaultier automne/hiver 2010 qu'aux pieds des mannequins en backstage durant la dernière fashion week, les Doc Martens peuvent se targuer d'avoir réussi leur come-back.

Oui mais voilà, ces bottines aux surpiqûres jaunes étant encore associées - dans l'inconscient collectif - à de multiples images toutes plus datées les unes que les autres, il était fondamental d'édicter une petite liste de do and don't sur le sujet, de manière à éviter quelques expériences fâcheuses. Car si les petites Anglaises et certaines fashionistas filiformes peuvent se permettre de mixer leurs Docs à des vêtements hétéroclites (dignes du film Absolutely Fabulous) sans que l'on n'y trouve rien à redire, le commun des mortels se devra de suivre quelques règles...

Tout d'abord, on évitera sans aucun regret les modèles montants au-delà de 8 trous. En effet, si les cuissardes sont dans l'air du temps et que Jean Paul Gaultier a imaginé une doc allant au-delà du genou, ce genre de digression goth-punk ne peut raisonnablement rien amener de bon. Il faudra donc opter pour un modèle englobant la cheville et s'arrêtant au début du mollet.

Niveau couleurs, on note que le noir reste un choix peu risqué, qui nous permettra d'adopter de nombreux styles différents. Le blanc peut lui aussi être envisagé, à condition de le traiter en douceur et non en contrastes (on le mariera alors à un jean cigarette immaculé surplombé d'une chemise en jean délavé et d'un maxi gilet perle sans manches).

Doc Martens 2010

Par ailleurs, la teinte tabac se mariant à la perfection aux kaki, bronze et autres vert jungle (des couleurs qui nous font rêver depuis le dernier défilé Balmain), elle pourra elle aussi être plébiscitée pour cet hiver. On laissera par contre les déclinaisons fluo aux night-clubbeuses adeptes de la dégaine eighties et les graphismes en tous genres aux originales assumées (dans le domaine de la doc imprimée, seuls les modèles fleuris et patinés par les années pourront s'intégrer joliment à une allure boho rétro à la Iekeliene Stange).

Concernant le dress code 09/10 applicable aux Doc Martens, on s'inspirera comme souvent du mantra "Less is more", ce genre de chaussures apportant suffisamment de caractère à une tenue pour que l'on ne soit pas obligé de la surcharger. On s'imposera également une contrainte supplémentaire en prenant garde de ne pas tomber dans des styles trop connotés. On oubliera ainsi les total looks loose noir charbon ainsi que ceux s'emparant de l'imprimé léopard, tandis que l'on brûlera nos mini-jupes écossaises (afin de de pas ressembler à cela). On prendra également soin d'éviter les pièces trop grungy ou trop japonaises goth'.

Par contre, on mettra l'accent sur des looks élancés, tour à tour classiques, casual, warmy ou légèrement rock. On pourra ainsi se composer une dégaine faussement sage mettant en valeur une paire de Doc Martens - 8 trous ou basses, noir réglisse ou chocolat - en misant sur des matières nobles telles que le tweed ou la soie. On pensera alors à mélanger blazer caramel, blouse blanche, short denim taille haute, snood anthracite, collants opaques noirs et Doc, faisant ainsi twister l'imagerie preppy.

Doc Martens 2010

Par ailleurs, le trio slim délavé/sweat gris/blazer noir réchauffé d'un bonnet noir à fines côtes nous permettra d'échanger nos sempiternelles Converses contre une paire de Docs, et cela sans perdre au change. De leur côté, les bottines marron pourront nous amener à composer de chaleureux camaïeux de couleurs à la Missoni. Elles intégreront ainsi de nombreuses silhouettes, telles que slim kaki/cardigan lie de vin loose/tee-shirt café au lait flou/maxi gilet caramel chiné, ou encore leggings taupe light/cardigan oversize nude/tunique loose bleu ciel/pardessus châtaigne/snood camel.

Les inconditionnelles de la dégaine rock pourront quant à elle oser le total look noir, à condition de jouer sur les nuances de couleurs et de faire soft sur les détails. Elles préféreront donc un perfecto doublé d'un long cardigan (porté sur un slim gris éclairé d'un sac pointu) à une déferlante de studs et de piques, tout Gareth Pugh soient-ils...

Pour finir, celles qui possèdent une silhouette gracile pourront associer - en soirée - une paire de Docs à leurs petites robe Hervé Léger, tandis que les amoureuses du style Christopher Bailey marieront sans hésiter robe blanche, peau de mouton retournée et Docs marron...

Par Coco dans Analyse des Tendances


Portrait : Jun Takahashi

Depuis que le styliste japonais Jun Takahashi a décidé de présenter ses collections durant la fashion week parisienne (il y a de cela bientôt six ans), son approche du vêtement, à la fois déjantée, esthétique et conceptuelle (une sorte de mix entre Margiela, Westwood et Raf Simons) ne cesse de séduire la critique. Visionnaire, hors normes, ami de Rei Kawakubo et jeune prodige au discours entier, loin des calculs commerciaux ambiants, Jun Takahashi est un diamant brut au cœur du monde de la mode.

Jun Takahashi

Jun Takahashi n'est pas un simple styliste qui dessine des vêtements pour "faire de la mode", c'est un artiste à part entière qui se sert de ce média pour diffuser ses idées. Il s'exprime également par le biais la musique, de la photo et du graphisme. Jeune, il occupe la scène underground japonaise. Il est DJ et leader d'un groupe baptisé "Tokyo Sex Pistols" et il sera surnommé Jonio en référence au chanteur des Sex Pistols Johnny Rotten.

Il évolue donc dans le milieu punk japonais, fréquente assidûment le quartier Harajuku, se gorge comme une éponge de tout ce qui l'entoure et développe un style urbain inédit (rock-poètique), qu'il pourra développer dans la meilleure école de mode d'Asie : la Bunka Academy. À la fin de ses études, il crée son propre label, "Undercover", qui devient très vite une référence auprès des jeunes tokyoïtes et qui se voit récompensé par de multiples prix, dont le prix Mainichi qui avait déjà récompensé des figures telles que Issey Miyake et Junya Watanabe.

La marque, qui avait vu le jour dans une petite boutique d'Harajuku, grandit alors de façon exponentielle : plus de 31 points de vente voient rapidement le jour sur le sol japonais. Que ce soit la robe à 2500$ ou les chaussettes à 30$, les fashionistas se ruent littéralement sur les produits de la griffe.

Jun Takahashi distille dans ses collections références punk et odes à la déconstruction. Il dit vouloir explorer le côté obscur des choses, parvenir à mettre sur un plan d'égalité beauté et laideur, annihiler la barrière entre les deux et les mixer afin de créer une nouvelle harmonie. Son travail se positionne à cheval entre le streetwear et la mode pure, celle des créateurs qui défilent lors des fashion week.

Ses créations suintent la rébellion, l'unestablishment, et se veulent "mignonnes mais effrayantes, belles mais laides". Jun Takahashi aime réunir les paradoxes, faire se percuter les contraires, et c'est sur cette idée qu'il construit son travail. Pour lui, la mode et la conscience sociale - voire politique - ne sont absolument pas opposées, bien au contraire. C'est ainsi l'un des rares designers à affirmer ses idées ou à prendre position à travers ses défilés, le tout avec talent et intelligence.

Undercover

Même s'il sait que c'est impossible, il déclare qu'il aimerait changer le monde grâce à ses vêtements. Il pense également qu'un vêtement peut générer autre chose comme réaction : qu'un "Oh, super ce look", et qu'à travers lui on peut faire passer des idées constructives.

Son génie azimuté, son néo-utopisme ainsi que sa candeur trash et punk éveillent l'intérêt de la grande dame de la mode avant-gardiste japonaise, Rei Kawakubo. Entre eux, un respect mutuel s'installe rapidement. C'est ainsi elle qui le poussera à aller présenter ses collections en France lors de la semaine parisienne du prêt-à-porter.

Mais pour cela, Jun Takahashi doit effectuer un repositionnement au niveau de sa cible. En effet, la façon de consommer la mode au Japon n'ayant rien à voir avec celle des Européens, il fallait viser une clientèle plus mature, plus adulte, ayant les moyens et à l'esprit rebelle.

Il débarque donc en 2002 sur les catwalks parisiens, traitant ses défilés comme des happenings, qui deviennent très vite le rendez-vous branché-arty de la semaine de la mode. Il travaille les déconstructions, les métaphores, le grunge et la délicatesse, les étoffes fragiles et le sportswear, et confère à ce style une nouvelle énergie.

Undercover

Ses premières présentations, bien que favorablement accueillies par la critique, n'en étaient pas moins peu accessibles. Il a su depuis quelques saisons rendre son propos plus lisible, ce qui ne le rend que plus désirable. En effet, s'il épure son style, il n'a rien perdu de son imagination destroy, de sa fascination pour la confusion des genres et de son talent transartistique, voire expérimental.

Il dit tirer son inspiration de la rue, d'une rue nippone idéale qui ne siège que dans son esprit... Si son travail est intense, décomplexé et plébiscité, il est curieux de constater que le styliste n'en est pas moins peu sûr de lui. Il n'aime guère être sous les spotlights et préfère œuvrer dans l'ombre. Il n'est jamais satisfait de ce qu'il produit et désire sans cesse aller plus loin, trouver quelque chose de nouveau, de plus fort, à la fois portable et transcendant.

Tout cela lui permet de perdurer et de surprendre sans cesse : sa collection automne-hiver 2007/2008 offrait ainsi une vision inédite et éclairée du vestiaire du futur, où le climat jouerait à pile ou face. Quant à l'opus été 2008, il délaissait quelques instants le "dark side" si cher au créateur, pour se focaliser sur une modernisation du style années 30 pour le moins étonnante, pointue et captivante…

Par Coco dans Les Grands Créateurs

dimanche 21 novembre 2010




Pour l'ACTU de cette semaine
on vous fait partager nos nouveaux partenariats ...


Japan in Paris
Nouveau partenaire All Mine Clothes



www.japaninparis.com ou www.japaninparis.fr, est un site sur la culture japonaise qui traite majoritairement des événements en rapport avec la culture japonaise. Ici on vous propose un agenda vous permettant de connaitre les dates de diverses manifestations culturelles (conventions, concerts, fêtes traditionnelles...) en France.

L'équipe couvre la majorité des événements sur la capitale, par le biais de reportages photo (et bientôt de vidéos).

"Notre politique est de toujours respecter les demandes des artistes, labels ou organisateurs d'événements, de ce fait certaines photos, par exemple d'a
rtistes présents en concert ou convention prennent du temps avant d'être publié sur le site puisque nous faisons valider nos photos auprès des labels."

"Nous vous proposons aussi chaque semaine une petite partie du top Oricon, l'actu J-Musique en France (dates de concerts, infos billetterie, etc.), ainsi que des vidéos de clips. Sur ce point, nous sommes aussi très strict nous ne vous proposons, que des vidéos légales, publiées sur internet par leurs auteurs ou des ayants droit."

Vous y trouverez aussi une section jeux vidéo où les rédacteurs tests les derniers jeux sortis ou simplement des coups de coeur !

Retrouvez les aussi sur leur page FACEBOOK ...



KILALA
Nouveau partenaire All Mine Clothes


Allez donc faire un tour par ici, de bien belles choses à découvrir et surtout des pièces crées avec passion, que se soit pour votre déco ou celle de vos amis l'effet sera bien là !

"Crée en 2008 par un photographe passionné, Studio Kilala propose la vente en ligne de posters, de toiles canevas et de photographies d'art encadrées sur le thème du Japon et du voyage.
L’originalité de Studio Kilala réside dans l’idée qu’à eu son auteur de se rapprocher à la fois d’un laboratoire photo et d’un encadreur professionnel, pour proposer des créations accessibles et originales dans un souci constant de qualité."

Offres du site en ce moment :
  • En ce moment profitez d'une remise exceptionnelle de 10% sur les photographies d'art encadrées. Bon de réduction : KILALA.

Spécial Noêl

"Nous expédions votre commande dans un paquet cadeau accompagné d'une carte de vœux personnalisée c'est cadeau !"


Insolite : un couple de Japonais marié par un robot


I-Fairy
Ce week-end au Japon a eu lieu un mariage unique en son genre, qui ne devrait pas rester une exception bien longtemps : Satoko Inoue et Tomohiro Shibata se sont en effet dit « Oui » non pas devant un maire ou un religieux, mais devant un robot.

Ce dernier, baptisé I-Fairy, coûte la bagatelle de 55 000 euros et a été programmé exprès pour célébrer le mariage des deux tourtereaux, qui travaillent d'ailleurs tous les deux dans la robotique. Relié par des câbles dissimulés à un ordinateur, l'androïde était contrôlé par un opérateur caché derrière un rideau.


«
Ce fut un vrai plaisir » a commenté la jeune mariée, qui travaille pour Kokoro, une filiale de Sanrio, connue pour sa marque Hello Kitty. « Je pense que les japonais ressentent que les robots sont leurs amis. Ceux qui évoluent dans l'industrie de la robotique, en particulier, comprennent ce phénomène, mais la plupart des gens veulent près d'eux des robots qui servent vraiment à quelque chose. »

Ce mariage, s'il est bel et bien authentique, est également une belle publicité pour
Kokoro, qui a pour objectif de « Toucher le cœur des gens » et qui a commencé à commercialiser l'I-Fairy il y a quelques mois. Plusieurs modèles sont déjà utilisés au Japon, aux Etats-Unis et à Singapour.


Le Japon invente le gâteau au chocolat virtuel

"Mettez ces lunettes et sentez comme ce gâteau est bon": des étudiants japonais ont imaginé un dispositif informatique qui donne à un banal biscuit sec le goût du chocolat (ou du fromage) uniquement par sensation visuelle et olfactive.

© Thinkstock

Ce système est composé d'un casque équipé de lunettes vidéo et d'une caméra située dans l'axe des yeux, le tout relié à un ordinateur. La scène que le porteur voit en vidéo est donc celle qui est présente devant lui, à une différence près: le dispositif informatique est capable de superposer des effets vidéo sur une partie de la scène filmée.

Par exemple, l'ordinateur peut ajouter une nappe de chocolat factice sur un biscuit sec que tient l'utilisateur. Le porteur du casque croit ainsi avoir dans la main un gâteau au chocolat.


A la dégustation, aucun doute, le goût du chocolat est bien là, alors qu'en réalité il n'y a rien de chocolaté dans le biscuit. La sensation est réelle cependant, car le casque génère aussi, au bon moment, une odeur de chocolat grâce à des diffuseurs d'arômes placés au niveau des narines.


Plus amusant encore: il est possible de changer l'apparence et la saveur du gâteau (fraise, fromage, thé vert, orange) en fonction de sa position dans l'espace (à droite, au centre, à gauche) par rapport à la caméra.


Ce prototype est le fruit de recherches menées par des étudiants de l'Université de Tokyo et présenté jeudi lors de l'exposition annuelle
Digital Content à Tokyo.


Des kit Kat aux patates douces pour les Japonais !

Nestlé a ajouté une sélection de saveurs typiques... (Photo: AFP)

Nestlé a ajouté une sélection de saveurs typiques du Japon à ses barres Kit Kat

Photo: AFP

RelaxNews
Tokyo

Nestlé a ajouté des saveurs typiquement japonaises à sa recette de barres chocolatées Kit Kat: thé vert, patate douce ou melon.

Depuis fin 2009, les barres Kit Kat sont disponibles en 19 versions reflétant des spécialités régionales du Japon, comme les patates douces d'Okinawa, les melons d'Hokkaido, les fraises de Tochigi, le thé vert de Kyoto et la sauce soja de Tokyo.

Nestlé espère que les clients achèteront ces produits, disponibles seulement au Japon, comme cadeaux ou souvenirs. Le groupe s'est également associé avec la Poste japonaise pour concevoir des paquets qui peuvent être envoyés par courrier avec un timbre à 140 yens (1,14?). Un espace vierge est réservé à du texte, comme une carte postale comestible.

«Donner des cadeaux est un acte important de la culture japonaise, et nous aimons voyager, donc nous voulions combiner ces deux choses», explique Miki Kanoh, porte-parole de l'entreprise, à Relaxnews.

Parmi les autres saveurs, le wasabi, un raifort japonais généralement consommé avec les sushi, la pomme, le miso, la cerise, le piment et le cheesecake aux fraises de Yokohama.

La saison des examens scolaires et universitaires approchant, les barres chocolatées devraient également se retrouver dans les paniers repas, comme porte-bonheur. «Kit Kat», une expression inventée dans les années 1930 en Grande-Bretagne, ressemble phonétiquement à «kitto katsu», une expression japonaise très employée en période d'examens, et qui signifie «Je ferai de mon mieux pour réussir».

Né en septembre 1935, chez Rowntree, en Grande-Bretagne, le Kit Kat pourrait tirer son nom d'un célèbre club londonien des années 1920. C'est le biscuit chocolaté le plus vendu au Japon et aux États-Unis. Il figure dans le top 10 au niveau mondial.

Le principal chocolatier au Japon est Meiji, qui existe depuis 1916 et représente environ 26% du marché, avec sa gamme Melty Kiss. Lotte, en deuxième position, détient 17% du marché. Nestlé est le plus gros fabricant étranger. Morinaga & Co et Ezaki-Glico, célèbre pour ses bâtonnets chocolatés Pocky, complètent le classement.


Une jeune maquilleuse devient une star du web

Info rédaction, publiée le 21 novembre 2010

photo michelle phan
photo michelle phan

La jeune et jolie Michelle Phan vient de dépasser le million d'abonnés sur sa chaîne YouTube. Les vidéos de ses cours de maquillage ont d'ailleurs toutes été visionnées plus d'un million de fois.

La jeune Michelle Phan n'est pas une blogueuse comme les autres. Rebaptisée "reine du maquillage" ou "gourou make-up" par la presse internationale, cette maquilleuse vient d'atteindre le million d'abonnés sur sa chaîne YouTube. C'est par ce biais qu'elle réalise des vidéos qui expliquent et initient aux méthodes de maquillages et aux soins faits maison. On peut par exemple trouver comment se maquiller en vampire sexy, recréer le maquillage de Lady Gaga dans son clip "Poker Face", ou encore un simple look romantique. Ses conseils sont clairs et techniques tout en étant réalisables.

En quatre ans, Michelle Phan a réussi à publier plus de cent vidéos, qui ont chacune été visionné plus d'un million de fois, pour un total de près de 270 millions de visionnages ! Et comme le succès ouvre certaines portes, elle est devenue "video make-up artist" de Lancôme. A noter que cette même marque avait refusé sa candidature pour manque d'expérience trois ans plus tôt. Une belle victoire pour cette jeune femme qui a tout compris au Web.

Découvrez une leçon de maquillage de Michelle Phan en vidéo sur Zigonet.



Bonne semaine à tous

A bientôt !!

dimanche 14 novembre 2010


ACtualité de la mode et extravagance de L'Asie !!!



Kigurumi....Portez vos peluches favorites. !!

Au Japon l' excentrique est roi..petit aperçu de la dernière foli en vogue,
oserez-vous?

mickey mouse

Les Kigurumi sont littéralement des animaux en peluche... que vous pouvez porter !
et ils peuvent être assez confortable si votre appartement est plutôt froid.
Plus de modèles sur le site Akinaiblog ...J'ai sélectionné quelques-unes de mes préférées et de les énumérés ci-dessous. Bien que je vous encourage à aller plus à leur site et voir les autres aussi.

Lequel est votre préféré?

monchichi

pikachu

rirakuma

batman


MTV Lance La shibuya Mania !!
Les vraies filles de Harajuku

- Shibuya Girls et harajuku sont à venir sur MTV!
Et cette fois, elle ne seront pas dans une vidéo musicale.
MTV International a annoncé un nouvelle série de réalité appelé "Shibuhara Girls" - leur premier spectacle jamais diffusé encore à la télé-réalité produite au Japon.

"Shibuhara Girls" suivra les aventures de quatre jeunes femmes qui tentent de se faire un nom pour elles-mêmes, dans la mode japonaise et les industries du divertissement. L'action sera centrée autour de Harajuku célèbres quartier de Tokyo et les quartiers de Shibuya, en donnant la série son nom.
La "Shibuhara Girls" émission de télévision sera présentée dans une saison pour une durée de 12 épisodes.
Chaque épisode sera de 30 minutes.


Shibuhara Girls MTV



Produit par Swarts Alan, «Shibuya Girls" sera diffusée sur MTV au Japon en Janvier 2011. Après ses débuts au Japon, la série devrait être montré dans d'autres marchés asiatiques comme Singapour, Hong Kong, la Malaisie, la Corée et les Philippines. Aucun mot encore pour savoir si les filles Shibuya finiront par faire leur chemin vers l'Amérique, le Royaume-Uni, ou d'autres marchés occidentaux.

MTV n'a pas publié de matériel promotionnel pour nous faire savoir à quoi la série va ressembler encore - ou qui sont vraiment les filles Shibuya - mais nous vous tiendrons au courant dès que nous aurons plus d'informations.


Projet du bâtiment Omotesando Innovation au coeur d'Harajuku !!

Lorsque l'emblématique magasin "Gap" a fermé cette année, beaucoup de gens se sont demandés ce qui serait à sa place. L'emplacement - le coin de Meiji Dori et Omotesando Dori - est l'une des pièces les plus prestigieuse dans l'immobilier à Harajuku, sinon dans l'ensemble de Tokyo.

Omotesando Project

Des rumeurs continuaient de courir dans le quartier autour d'un éventuel nouveau centre commercial Shibuya 109 (sans doute appelé "Harajuku 109"?) Qui irait en tête à tête avec le fameux Harajuku Laforet situé juste en face de la rue. Cette semaine, le propriétaire de l'immeuble (Tokyu), à démenti toutes les rumeurs en annonçant l'inauguration du nouveau "Projet d'Omotesando" - un nouveau développement à être ancrée par un magasin phare de Tommy Hilfiger massive. Omotesando projet prévoit son ouverture au printemps 2012.

le concept du nouveau projet d'Omotesando :

Le nouveau bâtiment est situé à la jonction d'Omotesando et abrite de nombreuses marques de luxe célèbre. Cette région est au centre de Harajuku et Omotesando. Ces districts commerciaux sont connus non seulement au Japon, mais partout dans le monde, comme le berceau de la mode et de nombreuses tendances culturelles.
Ce développement unique permet une utilisation maximale de l'emplacement idéal pour créer un "commercial de prochaine génération et de loisirs qui coexistent en harmonie avec la nature".

En donnant au projet une portée mondiale, "Tokyu Land Corporation" a pour objectif de mieux comprendre notre société de développement urbain.

En ligne avec le concept de la prochaine génération, nous avons nommé le jeune et talentueux architecte Hiroshi Nakamura (Architectes PAN Co., Ltd Représentant directeur) en tant que designer. Le projet a été conçu pour être respectueux de l'environnement et à s'inscrire dans le style des bâtiments existants. La caractéristique principale sera la terrasse sur le toit ouvert. L'ensemble du bâtiment a été conçu pour tenir compte de l'environnement, y compris la forêt du sanctuaire Meiji et l'orme trottoirs bordés d'arbres d'Omotesando. La terrasse sera ouverte au public, et contribuent à enrichir la communauté en offrant un espace de verdure au coeur de la ville. Le "Omotesando projet" sera un nouveau point de repère dans le quartier Harajuku, Omotesando.

Les locataires principaux sont trois marques de la mode, y compris de classe mondiale : Tommy Hilfiger, qui ont choisi la construction de leurs magasins phares.

Le bâtiment Omotesando projet sera de sept étages de haut et deux étages sous-sol, avec une superficie totale de près de 12.000 mètres carrés. La terrasse sur le toit recouvert d'arbres semble assez étonnante dans les illustrations du concept de l'artiste.

Omotesando Project Harajuku

C'est ici que sera le plus grand magasin Tommy Hilfiger en Asie.

"Ce magasin sera le premier magasin phare de notre marque au Japon et continuera à soutenir nos activités importantes de détail en Asie", a déclaré Fred Gehring, PDG du groupe Tommy Hilfiger. "Le magasin de Harajuku reflète notre conviction dans le potentiel de croissance future au Japon et est le premier d'une série de mesures pour accroître notre présence sur le marché."

«Je suis heureux d'ouvrir un magasin phare au Japon sur Omotesando, l'un des emplacements commerciaux les plus renommés dans le monde», a déclaré Tommy Hilfiger, principal concepteur et visionnaire pour la marque Tommy Hilfiger. "Alors que nous célébrons notre 25e anniversaire, je suis impatient de les 25 prochaines années de continuer à renforcer notre présence dans les villes importantes à travers le monde comme Tokyo. "

Le magasin de Harajuku comprendra plusieurs éléments de design surprenant et rendra hommage aux racines de la marque, ainsi que le patrimoine local, en incorporant un mélange éclectique de meubles et accessoires vintage de l'Amérique et le Japon.


Somarta 2011
Extrait de la Collection été 2011


Le vendredi, Octobre 22, les labels japonais ont présenté leurs Somarta 2011 Collection Printemps / Eté sur la piste à Tokyo Midtown. Ce spectacle présenté plusieurs nouvelles versions du just-au-corps Somarta qui sont devenus célèbres depuis que Lady Gaga a commencé à les porter.
Outre le justaucorps, le S / S collection présentait aussi des robes, caleçons, vêtements d'extérieur, et d'autres morceaux dans divers tissus chatoyants et mousseux. Les mannequins portaient également des chaussures plate-forme métallique sans talon.

Le label a été fondé par
Tamae Hirokawa Bunka diplomée du Bunka Fashion College . Elle a rejoint Issey Miyake Co., Ltd peu de temps après l'obtention du diplôme. Hirokawa par son talent et son travail acharné à augmenté rapidement grimpé au sein de l'entreprise. Dans les cinq ans, elle était en charge de l'Homme Issey Miyake et Issey Miyake collection. En 2006, elle a commencé sa propre entreprise de design appelé Designs Soma, où elle a travaillé sur des projets allant de la mode à la conception graphique
. L'étiquette Somarta faisait partie de cette entreprise.

Hirokawa est bien connue pour son concept peu fonctionnel, une autre approche de la conception des vêtements. Elle a utilisé des plaques de métal, des plis, et la broderie en une seule pièce. Ses récents travaux comprennent de nombreux just-au-corps et modèles aux maquillages maori.

Sélection et extrait du défilé...
(source Tokyofashionco.com)

Somarta 2011 S/S
Somarta Bodysuit
Somarta Bodysuit
Somarta 2011 S/S


Bonne semaine à tous et à toutes,

On vous retrouve la semaine prochaine..

lundi 8 novembre 2010



Les actualités de la semaine...


Le job le mieux payé du moment

dominospizza1

Une petite annonce fait du bruit en ce moment au Japon. La franchise de fast-food Domino's Pizza, qui fête cette année ses 25 ans d'implantation sur le territoire nippon, recherche un vendeur pour travailler 1 heure, durant le mois de décembre, pour un salaire de 2 500 000 yens (env. 22 300 euros).
Un porte-parole de la société a avoué que la firme avait surprise par le nombre de candidats ayant déjà répondu à l'annonce, mais s'est refusé à donner plus de détails sur l'opération marketing avant le 10 novembre.

dominospizza2
Sur le site internet de la franchise.

A titre de comparaison, le salaire horaire moyen d'un employé de la chaîne est de moins de 1 000 yens (env. 8,90 €).




« Costumes d'enfants, miroir des grands »

20 octobre 2010 – 24 janvier 2011

Exposition organisée par le musée des arts asiatiques Guimet grâce au mécénat d’AREVA et avec la participation de Banque Nomura. En partenariat média avec Nickelodeon, Paris-Mômes et Art absolument.

Commissaire de l’exposition : Aurélie Samuel, chargée d’études documentaires, en charge des collections textiles du musée Guimet.

(JPG)

A partir de l’extraordinaire collection donnée par Krishna Riboud au musée Guimet, l’exposition « Costumes d’enfants, miroir des grands » se propose de montrer un vaste panorama des costumes d’enfants en Asie.

En hommage à la grande collectionneuse Krishna Riboud, qui consacra sa vie à sa passion des textiles asiatiques et constitua le riche ensemble conservé aujourd’hui au musée Guimet, l’exposition aborde le thème de l’enfance dans le plus vaste continent du monde, riche de traditions et de savoir-faire ancestraux.

(JPG)
© Benjamin Soligny / Raphaël Chipault / Musée Guimet
Veste de fête de petit garçon (kediyun) Inde, Gujarat, Kutch, Ahir Début du XXe siècle Toile et sergé de 2 lie 1, S, brodées et brodées d’application. Broderie au point de chaînette, lancé, de chausson, point avant. Application de miroirs sertis au point de feston. Coton, soie 52 x 109 cm Musée Guimet, legs verbal Krishna Riboud, 2003 MA 8675 (AEDTA 540)

« Costumes d’enfants, miroir des grands » offre à voir un panorama inédit des vêtements portés à l’occasion de cérémonies d’apparat, de célébrations religieuses ou de façon quotidienne par les « petits d’hommes » dans des pays aussi culturellement diversifiés que l’Inde, la Chine, le Japon ou l’Indonésie. Souvent reflets de ceux des plus grands, les costumes d’enfants sont bien plus que de simples parures du corps, ils sont également les témoins des espoirs d’avenir fondés par les aînés en ces petits-êtres qui constitueront leurs prolongations terrestres.

(JPG)
© Benjamin Soligny / Raphaël Chipault / Musée Guimet

Chaussures d’enfant à tête de tigre (hutouxie) Chine XXe siècle Coton brodé au passé plat, au point lancé et brodé d’application (pièces en relief). Soie, lame métalloplastique dorée 6 x 12 x 4 cm Musée Guimet, legs verbal Krishna Riboud, 2003 MA 9231 (AEDTA 1157)

Cette exposition propose un parcours chamarré ouvert aux plus jeunes qui s’étonneront certainement des formes et des couleurs des habits portés par les autres enfants du monde …

En plus des textiles des XVIII, XIX et XXèmes siècles, photographies, illustrations, céramiques et outils techniques se côtoient pour aborder ce thème de la manière la plus complète et didactique. Cette sélection, toutes sections confondues, s’accompagnera d’œuvres contemporaines empruntées à diverses institutions, attestant de la persistance de très anciennes traditions dans certaines créations modernes.

L’ensemble s’accompagne d’un accrochage de photographies du célèbre artiste et beau-frère de Krishna Riboud, Marc Riboud.

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© Benjamin Soligny / Raphaël Chipault / Musée Guimet




Le Furoshiki

Le Furoshiki est une technique traditionnelle japonnaise pour empaqueter avec un morceau de tissu.

Pour bien faire on utilise une chute ou un joli morceau de tissu de forme carrée.

How to use Furoshiki

Un peu d'histoire...

Son existence remonte probablement à l'ère Nara et sa plus ancienne représentation, le montrant comme un paquet pour transporter des vêtements sur la tête, date de l'ère Heian.

Le nom, signifiant « (quelque chose) étalé au bain » (風呂に敷く(もの), furo ni shiku (mono)?), provient de l'ère Edo où l'on utilisait le furoshiki pour emmener les affaires nécessaires ou empaqueter les vêtements aux bains publics (銭湯, sentō?). Avant d'être associé à ce dernier, le furoshiki était appelé hirazutsumi (平包}? « paquet à plat »).

Avant cette époque, à la fin de l'ère Muromachi, les daimyos l'étendaient pour poser leurs affaires avant de prendre leur bain ou pour essuyer leurs pieds. Il est possible que l'usage du furoshiki se soit étendu comme un moyen de transport, de protection et de décoration pour les produits des marchands.

Depuis l'après-guerre, les furoshiki tombaient doucement en désuétude au Japon, en grande partie depuis l'apparition du sac plastique. Cependant, dans un souci environnemental, le ministère de l'environnement et des associations écologiques japonaises tentent de les remettre en vogue.

Les furoshiki actuels peuvent être réalisés dans de nombreux tissus, comme la soie, le coton, la viscose ou le nylon. Ils sont souvent décorés de motifs traditionnels ou par du shibori ou du chirimen et mesurent entre 45 et 120 cm de côté.

Technique simple

La technique consiste simplement à plier et à nouer le carré de tissu. Tout est dans la pratique !

Voici une vidéo qui explique les techniques de pliages et nouages de différents types de furoshiki. Bonne pratique!


Furoshiki : art de l'emballage japonais

« J’vous ai apporté des bonbons, parce que les fleurs sont périssaaaables… »

Ah si Brel avait découvert comment les Japonais s’offrent des fleurs qui n’en sont pas et des faux gâteaux plus vrais que nature…


Tout ici est prétexte à s’offrir des petits cadeaux, il y a toujours quelque chose à fêter, demain 14 mars ce sera « White day », le contraire de la St Valentin où la jeune fille offre un cadeau à son promis, en mars c’est le garçon qui offre à sa dulcinée.

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Alors la créativité casse les codes, on réinvente sans cesse, il faut étonner, faire rire ou sourire. On offre de tout, des idées les plus simples aux plus sophistiquées.

Des exemples ?
Les fleurs sont présentées sous la forme de petits gâteaux très sophistiqués.
Des essuies éponge, pliés en forme de pomme ou de melon, dans un petit panier, à s’y tromper.
Des fruits vendus comme des fleurs, on entre dans le magasin comme chez un fleuriste, les fruits sont présentés comme des œuvres d’art (ce qu’ils sont presque)

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Fraises, melons, oranges, mangues, pommes sont vendues à la pièce ou parfois en corbeille à des prix exorbitants. Le melon ou la pastèque est accompagné d’un certificat d’authenticité, sa tige est artistiquement conservée et torsionée à la manière des bonzaïs. Prix ? Quand on aime... on compte pas.

Des rubans de toutes les couleurs, des papiers de soie ou translucides, des boîtes d’emballage à se pâmer complètent la panoplie.
Evidemment un service de livraison est compris, servir jusqu’au bout.
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A côté de ces inventions, il y a bien entendu le phénomène du chocolat, mais là c’est un sujet à part entière, pour plus tard !


AU POIL...

C’est bien connu, les hommes détestent passer chez le coiffeur.

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Mais chez QB House, (QB pour Quick Beauty!!!) on ne coupe pas les cheveux en 4. On fait des coupes en 2 temps 3 mouvements et en 10 minutes et pour seulement 1000 Yens soit 6,5 €.

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De l’extérieur le salon fait plutôt salon lavoir. Technique et froid. Mais tout y est précisément indiqué. Avant d’entrer on sait donc à quoi s’en tenir. D’abord une tube lumineux indique le temps d’attente. Vert, on vous coiffe de suite. Jaune, cinq à dix minutes d’attente, rouge 15 ou plus. Mais le plus cocasse est le distributeur automatique de tickets.
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D’abord il n’accepte que les billets de 1000. Pas de pièces, ni d’autres billets. 1000 un point c’est tout. Le ticket indique le numéro d’ordre. Il est encore précisé que la coupe prendra 10 minutes. Ticket en main, le quidam fait la file. Quand vient son tour, il remet le ticket au coiffeur et lui dit ce qu’il veut comme coupe. Tout cela est clairement expliqué en pictogrammes agrémentés de textes en Japonais et en Anglais. D’autres signes précisent qu’on ne peut ni manger, ni téléphoner, ni fumer dans le salon. DSC_0014
A l’intérieur, 3 sièges et devant chacun une sorte d’armoire avec tout le nécessaire utile au Figaro. Miroir, peignes, brosses, spray, séchoir intégré (en fait un long tube style aspirateur mais soufflant – ouf !), essuies chauds, pinces, etc… et bien sûr balais et ramassette pour faire place nette après le départ du tondu. J’oubliais, un écran plat intégré permet de passer le temps en regardant le temps qu’il fait. C’est vrai qu’en 10 minutes, il n’y a pas pléthore de programmes à la découpe.
Derrière ces 3 « armoires » une salle d’attente, pas pour les clients, non, pour les coiffeurs en attente de client.

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Tout est assez chirurgical, aseptisé, blanc et bleu, froid,… mais d’une efficacité redoutable. Semble-t-il… je ne suis pas allé jusqu’à essayer le service pour vous ! Il y a des limites tout de même. On a vu entrer un client, on n’a pas attendu pour voir le résultat, on aurait dû ?
Comme par hasard la chanson de Brel « au suivant » m’est venue à l’esprit. Bizarre, non ?

Bonne semaine et à bientôt...
www.allmineclothes.com