Bienvenue !

Bienvenue
blog du site www.allmineclothes.com !
Suivez l'actu et les dernieres tendances modes repérés dans les rues de Tokyo et Séoul !

Bonne visite...

dimanche 31 octobre 2010


"Asiatique fashion STYLE"


Un Robot pour guider les acheteurs perdus au Japon


Le Japon est résolummment investi dans les progrès et les applications liées à la robotique. Avec ce nouveau prorotype déjà en service à Osaka, le robot est capable de déterminer si vous êtes perdu dans les rayons du magasins et vous propose poliement des orientations...on est déjà dans le futur ! © robot_japon Imprimer cette page

Des chercheurs japonais ont développé un robot qui reconnaît quand les gens sont perdus et les aide à trouver leur chemin. S’appuyant sur des données provenant de 16 caméras, 6 lasers télémétriques et 9 lecteurs RFID. Les capteurs sont installés dans et autour de la zone, le robot est capable de suivre jusqu’à 20 personnes à la fois, déterminer leur emplacement a quelques centimètres de précision et de classer chaque individu en fonction de son comportement dans l’une des 10 catégories (l’attente, l’errance, la marche rapide, course, etc).

Néanmoins, cet humanoïde est apparemment autorisé à fonctionner à l’Universal Citywal d’Osaka avec l’Advanced Telecommunications Research Institute qui teste sa capacité à interpréter les signaux. Quand il reconnaît un individu perplexe, il confirme leur état de confusion et poliment offre des directives pour la destination de leur choix.

Source : pinktentacle.com et gaboneco.com


Errance dans le Japon excentrique

Excentrique ? Le mot paraît déplacé, sinon incongru, à propos d’un Japon qui passe pour conformiste, formaliste, étouffant l’individu sous le poids d’un consensus, verdict de l’opinion plus que des suffrages.

Sans doute, par excentrique, entendez-vous ces jeunes déjantés des quartiers branchés qui se défoncent dans le look : des lolitas qui sont toujours "quelque chose" ("sweet" enfantines, "cyber" futuristes, "pink" enrubannées, gothic avec un côté victorien...). Non, pas cette excentricité-là, frelatée, dont les tenants se conforment à des codes vestimentaires - simplement minoritaires. Alors, peut-être, l’excentricité flamboyante de quelques faiseurs d’opinion ou de mode, emportés dans une inlassable réalisation de soi : ce "Be yourself" vanté par une marque de cigarette ? Non, pas cette excentricité-là non plus : tout le monde est "excentrique" dans ce bricolage personnalisé d’un frénétique accomplissement personnel. Nous parlons d’une autre excentricité, peu spectaculaire, qui sourd d’une attitude vis-à-vis du monde, d’une indifférence aux usages sociaux - pas forcément "anarchisante" ou ascétique, mais sereinement distante du brouhaha de l’époque.

Où est cette excentricité-là dans le Japon moderne ? On en voudrait un guide, un parcours fléché pour la dénicher, la photographier, l’interviewer, l’épingler comme un insecte rare... Il n’y en a pas : elle se niche dans les plis de la société admise.

Ici comme ailleurs, on la découvre au fil de ses propres quêtes. Ce non-conformisme échappe aux rets de la sociologie mais affleure sous la plume sensible d’un écrivain comme Michaël Ferrier, qui sait au fil de ses écrits en relever des fragments "lézardant l’image monotone et monolithique" de ce pays. A Tokyo en particulier,"ville de contraintes et d’ordre qui suscite en permanence de nouvelles façons d’être libre et de penser" (...), "une ville qui connaît finalement un mode de transport privilégié : l’errance, et un mode de vie : le questionnement", écrit-il dans un joli roman, Sympathie pour le fantôme (Gallimard, "L’infini", 250 p., 17,90 euros).

L’excentricité dont nous parlons s’enracine dans une riche histoire, pan attachant, et largement inconnu à l’étranger, de la culture japonaise. De cette "échappée belle", François Lachaud, directeur d’études à l’Ecole française d’Extrême-Orient, donne un aperçu dans un livre passionnant : Le vieil homme qui vendait du thé. Excentricité et retrait du monde dans le Japon du XVIIIe siècle (Cerf, 152 p., 16 euros).

Encore un livre savant avec notes en bas de page et mots en japonais... un livre "à se prendre la tête" ? Erudit certes, mais avec brio. Alors, pourquoi perdre son temps à lire des platitudes ressassant les clichés dont vous êtes déjà abreuvé pour refermer ces livres dits "grand public", réconforté par un : "C’était bien ce que je pensais". En d’autres termes, ne rien avoir appris mais avoir été nourri des pseudo-évidences de quelques anecdotes supplémentaires ? Par son érudition précisément, grâce à des fulgurances qui font passer d’un maître zen à La Rochefoucauld ou au poète portugais Fray Luis de Leon, ce Vieil homme qui vendait du thé a le mérite d’offrir deux niveaux de lecture : une, savante, pour les spécialistes qui en feront leur miel, et l’autre, légère, pour ce que l’on aurait appelé autrefois un honnête homme, qui y picorera des graines à réflexion sur l’époque Edo (XVIIe-XIXe siècle), période de la proto-modernité japonaise, l’art du thé (plus complexe que la vulgate de ladite "cérémonie") et la sécularisation du discours ascétique dans les pratiques littéraires à travers la vie de ce moine revenu à la vie laïque.

Le rayonnement exceptionnel de notre moine dans le Kyoto du milieu du XVIIIe siècle, sa fréquentation d’autres personnages hors du commun, tels que le célèbre peintre Jakuchu Ito (1716-1800), pour lesquels le retrait du monde était non pas synonyme de solitude mais d’un repli sur les affinités électives d’amitiés complices, influença l’attitude des lettrés, dont l’écrivain libertin Kafu Nagai (1979-1959) fut un épigone.

Retirés du monde pour s’affranchir de ses contraintes dans une farouche quête de liberté, ces excentriques estimaient que "l’attitude normale était précisément de sortir de la normalité". Et ils étaient admirés par leurs contemporains pour ce choix de vie.

Et aujourd’hui ? François Lachaud évoque le retour d’une attirance diffuse pour le détachement du monde dans une société vieillissante. L’allongement de la vie et la solitude choisie ou involontaire, marquée du sceau "infamant" de l’inutilité au regard du productivisme, conduisent à repenser les modes de vie et les relations à la communauté : "Le souci de soi, de la part d’ombre, le monde intérieur, la culture du détachement du monde sont une des formes essentielles de la recherche d’identité dans le Japon d’aujourd’hui."

L’excentricité est une construction historique et sociologique qui varie en fonction des époques et migre d’un domaine à un autre. Dans la riche expérience de leurs excentriques - ou excentrés - du passé, qui ont élevé le retrait du monde au niveau d’une esthétique de vie, les Japonais contemporains ont bien des voies à méditer.

Source : Le monde.fr

Les samouraïs sont de retour

mercredi 28 juillet 2010 par Adrien

Le mariage en armure ? Furieusement tendance au Japon. Sous l’influence des séries télévisées historiques, de plus en plus de jeunes célèbrent leur union en tenue de samouraï. Au milieu des festivités, Yuya Otsuka, 29 ans, a ainsi troqué son smoking pour l’attirail du guerrier. Sous les applaudissements des convives, il a fait son entrée caparaçonné dans une réplique de l’armure de Kanestugu Naoe. Comme le célèbre samouraï, il arborait l’idéogramme  aï [amour] sur son casque, en l’honneur de son épouse, Aïko.

Je me sens très viril [...] j’ai l’impression d’être à l’époque Sengoku”, a confié au Tokyo Shimbun le jeune homme, qui a fait son entrée sur la musique de la série télé Tenchijin, consacrée aux exploits de son idole. A l’époque, on guerroyait sabre au clair entre provinces. Autres temps, autres mœurs : le jeune homme n’a usé du traditionnel katana que pour découper la pièce montée.

Les armures utilisées lors des noces proviennent à 99 % de chez Marutake Sangyo. Cet atelier de Kagoshima, initialement spécialisé dans les armures destinées aux films, aux séries télé et aux amateurs d’art, a vu les commandes de mariage affluer depuis son installation à Tokyo. Une cinquantaine d’adeptes du kacchukon ont déjà eu recours à ses services, déboursant quelque 15 000 yens pour leur tenue et 50 000 pour l’assistance d’un habilleur. En septembre, le patron de Marutake, Tomataka Tanoue, revêtira lui aussi une armure pour convoler avec sa promise, Kiyomi. On attend une centaine de convives – tous en casque et cuirasse.

Source : Courrier International


PORTFOLIO JAPAN FASHION !


101016-7991

101016-7952

101022-5076

101020-2704

101021-3586

101021-3865

101016-7906


101016-7791

101016-7753



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire